Les gens ordinaires ont tous – ou presque — vécu une histoire extraordinaire. Les Valaisannes et les Valaisans ne font pas exception.
Véronique a attendu 40 ans pour découvrir qu’elle avait, de l’autre côté de l’Atlantique, une sœur. Une sœur dont personne n’avait jamais parlé. C’est par un simple coup de fil qu’elle apprend cette «erreur de jeunesse» de son papa.
Imaginez son choc. Elle ne sait pas comment réagir. Lui ouvrir les bras ou faire comme si ce coup de téléphone n’avait jamais eu lieu?
Si comme moi, vous pensez que chacun porte en soi une histoire qui mérite d’être racontée, n’hésitez pas à m’écrire (france.massy@lenouvelliste.ch), je mettrai des mots sur la vôtre tout en respectant votre anonymat si vous le désirez.
A bientôt...