Il est des métiers difficiles en ce moment. Restaurateur. Infirmier. Musicien. Conseiller fédéral ou encore journaliste. Chacun son fardeau, mais c’est toujours celui qu’on porte qui pèse le plus.
L’image vient de mon collègue Patrick Ferrari. Je vous la rends ici: être journaliste ces temps-ci, c’est comme si vous étiez boulanger et que, tous les matins, quelqu’un (client fidèle ou pas) pousse votre porte et vous hurle «ton pain, c’est de la merde» avant de déguerpir jusqu’au...