Pour commencer de manière originale la semaine, je pourrais évoquer les grandguignolesques tribulations du petit Sarko - dans ma benoîte candeur, je pensais qu'il avait mieux à faire que de courir le guilledou - et de sa grande brune. Mais je préfère demeurer de bonne humeur et laisser le soin à d'autres médias de colporter, avec une abnégation qui confine à l'écoeurement, les frasques des people.
Loin de cette nauséabonde agitation, je vais vous parler du conseiller fédéral Samuel Schmid. Bon, côté people, il est vrai que c'est difficile de faire pire. Mais côté proximité avec le peuple, il fait fort. J'en veux pour preuve la récente visite de la classe de mon fils (5e primaire) au Palais fédéral, ponctuée par une rencontre inopinée avec Samuel Schmid. Ce dernier, très accessible, a pris un peu de son temps pour converser avec eux. Impressionnés, les élèves lui ont ensuite envoyé un...