La crise économique du coronavirus pourrait priver de nombreux adolescents d’une place d’apprentissage. «C’est une problématique que nous prenons au sérieux», commente Claude Pottier, chef du Service valaisan de la formation professionnelle. «Je fais partie d’une task force qui a été mise sur pied au niveau national pour observer l’évolution du nombre de contrats signés et réfléchir à des moyens d’action.»
Chaque année, en Valais, ce sont environ 3000 jeun...