Des religieuses tout sauf chastes, des animaux et des sorcières anthropophages, un chantier titanesque – le barrage de la Grande Dixence pour ne pas le citer – d’où les morts ensevelis par le béton reviennent à la vie affamés de vengeance, un road trip – road «tripes»? – sur fond de dérives mafieuses et d’abus en tous genres… Ces ingrédients goûteux font toute la saveur des trois premiers volumes de la série littéraire «Gore des Alpes», dirigée par Philippe Battaglia, et vernie ce jeudi à Monthey dans un Kremlin spécialement apprêté pour ...
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