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Terreur et terroir, le Valais a le diable au gore

Ce jeudi 31 octobre sont vernis au Kremlin les trois premiers volumes de la série «Gore des Alpes», dirigée par Philippe Battaglia. Une littérature imbibée d’humour et d’hémoglobine, idéale pour fêter Halloween.

30 oct. 2019, 12:00
Philippe Battaglia, président du Kremlin et directeur de la collection «Gore des Alpes».

Des religieuses tout sauf chastes, des animaux et des sorcières anthropophages, un chantier titanesque – le barrage de la Grande Dixence pour ne pas le citer – d’où les morts ensevelis par le béton reviennent à la vie affamés de vengeance, un road trip – road «tripes»? – sur fond de dérives mafieuses et d’abus en tous genres… Ces ingrédients goûteux font toute la saveur des trois premiers volumes de la série littéraire «Gore des Alpes», dirigée par Philippe Battaglia, et vernie ce jeudi à Monthey dans un Kremlin spécialement apprêté pour Halloween.

Tripaille goguenarde

Au début était le verbe, paraît-il. Et bien en l’occurrence tout est parti d’un jeu de mots lors d’une discussion à laquelle participait le sociologue et historien Gabriel Bender, quand aux petites heures du jour, l’idée a fait surface de montrer les Alpes, la montagne, la région, sous leur jour le moins reluisant, quitte oser...

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