Son histoire révélée dans nos colonnes en mars dernier avait ému bon nombre de personnes. Grugées par une entreprise générale montheysanne, depuis lors partie en faillite, Patricia Bonny et sa famille risquent toujours de devoir débourser 15 2 000 francs sous forme d'hypothèques légales afin de rembourser les entreprises de charpente et bois, de maçonnerie et de gypserie peinture qui ont oeuvré à la construction de leur villa à Epinassey.
"Sans compter que nous avons déjà réglé 7 8 000 francs de factures non prévues et que certains travaux ne sont toujours pas terminés", précise l'Agaunoise...