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Frédéric Mermoud décortique la mécanique du Temple solaire

Quatre cinéastes suisses ont réalisé une série de longs métrages inspirés de faits divers qui se sont déroulés en Suisse. Parmi eux, le Sédunois Frédéric Mermoud s'est intéressé au drame de l'OTS.

27 janv. 2018, 06:47
Avec "Sirius", le réalisateur valaisan Frédéric Mermoud plonge dans les rouages d'une secte. Un long métrage largement inspiré du drame de l'Ordre du Temple solaire, qui eut pour cadre, en 1994, le Valais et le canton de Fribourg.

Des drames dont la violence n’a d’égale que la tranquillité du quotidien qu’il viennent déchirer. Avec les quatre longs-métrages regroupés dans une mini-série baptisée «Ondes de choc» et projetée ce samedi aux Journées de Soleure, quatre réalisateurs suisses de renom auscultent les «failles de la muraille de respectabilité» helvétique (lire ci-dessous).


En 1994, vingt-cinq corps retrouvés brûlés à Salvan

Parmi eux, Frédéric Mermoud. Le cinéaste valaisan – à qui l’on doit notamment les longs métrages «Moka» et «Complices» et la série «Les Revenants» pour Canal + - a choisi de se plonger dans les mécanismes qui ont régi le drame de l’Ordre du Temple Solaire, en 1994. Pour mémoire, le 5 octobre de cette année-là, vingt-cinq personnes étaient retrouvées empoisonnées et brûlées dans un chalet aux Granges-sur-Salvan. Parmi elles, les deux dirigeants de la secte, Jo Di Mambro et Luc Jouret. Vingt-trois autres étaient découvertes dans les décombres d’une ferme...

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