Le canton, par l’intermédiaire du chef du service des affaires intérieures, Maurice Chevrier, avait été clair. Les citoyens de Finhaut devaient se prononcer au cours d’une assemblée primaire extraordinaire avant le 20 février sur un prêt d’1,5 million de francs à la société du Parc d’attraction du Châtelard, mais aussi sur l’octroi d’une garantie de remboursement d’un prêt NPR de 1,5 million. Sans quoi le canton sévira. Pourtant, les Fignolins ne le feront pas en février puisqu’aucune convocation a été envoyée. L'assemblée devrait se dérouler avant le 30 mars, dernier délai.
Le canton, qui a mis du temps à réagir, ne souhaite pas entrer dans le jeu de ces querelles intestines. Mais aura-t-il vraiment le choix alors que l’affaire fait l’objet d’une dénonciation pénale?
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