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Les masques en tissu, ça vaut quoi?

De plus en plus de personnes portent un masque d’hygiène en tissu. Quelle est leur efficacité? Comment doivent-ils être confectionnés? Et lavés? Nos réponses.

20 mai 2020, 05:30
epa08366268 A combo picture shows citizens of Genoa wearing different types of protective masks during the coronavirus pandemic in Genoa, Italy, 16 April 2020. Countries around the world are taking measures to stem the widespread of the SARS-CoV-2 coronavirus which causes the Covid-19 disease. EPA/LUCA ZENNARO

Même si la Confédération n’a pas imposé le port généralisé du masque d’hygiène, la demande est très forte. A côté des masques chirurgicaux, les masques en tissu rencontrent toujours plus de succès. Ces masques ne protègent pas la personne qui le porte, mais son entourage. Que valent-ils? Notre enquête en huit points.

Une solution de secours

Quelle est la différence entre un masque chirurgical (ou «masque bleu») et un masque artisanal? «Le premier, qui est à usage unique et qui se porte entre trois et quatre heures, répond à un cahier des charges normé. Il protège de l’intérieur vers l’extérieur, donc pas celui qui le porte, mais son entourage. Sa capacité de filtration va de 95 à 98% selon les modèles. C’est un outil qui répond aux besoins des soignants dans les hôpitaux, les EMS et les cabinets médicaux», explique Bruno Grandbastien, médecin adjoint du Service de médecine préventive hospitalière...

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