Président du Tour de Romandie, copatron de sa propre société d’organisation d’événements sportifs, membre du conseil d’administration du HC FR Gottéron, présent dans plusieurs commissions au sein de l’UCI, consultant à la RTS et, depuis peu, directeur général de l’Association internationale des organisateurs des courses cyclistes (AIOCC), Richard Chassot est présent sur tous les fronts. Il jongle avec ses casquettes avec une habileté déconcertante.
«Tout le monde me parle de ça, mais ça ne me pose pas trop de problèmes, assure le Fribourgeois avec sa décontraction habituelle. Au fond, ces activités sont complémentaires. Je suis devenu secrétaire général de l’AIOCC sur demande des autres organisateurs, dont Christian Prudhomme (directeur du Tour de France et président de cet organisme). Pour moi, il s’agit d’une continuité dans mon implication dans le vélo.» En fait, en défendant les intérêts des organisateurs, Richard Chassot va aussi préserver ceux de son épreuve.