Mardi, dans le cadre d’un exercice marqué par un problème technique touchant une pompe hydraulique, un bataillon de l’armée déversait accidentellement près de 50 litres d’huile dans le lac protégé de Morgins, comme le révélait «Le Nouvelliste».
Après l’incident, la police militaire déclarait détenir toutes les autorisations nécessaires pour s’exercer sur ce site protégé. Une affirmation aujourd’hui remise en doute. «L’armée n’était pas au bénéfice d’une dérogation ou d’une autorisation délivrée par le canton», conteste Yann Tripone...