Pas facile la vie d’artiste! Ceux qui animent cette semaine le Festival international folklorique d’Octodure peuvent en témoigner. Entre les grands spectacles (celui d’ouverture mardi, ceux de gala vendredi et samedi ou de clôture dimanche), les prestations dans les stations, les mini-festivals décentralisés (Morgins, Etroubles, Chamonix), les cours de danse et les incontournables répétitions quotidiennes, danseurs et musiciens n’ont pas vraiment le temps de s’ennuyer. Sans perdre pour autant le sourire! «Parce qu’ils sont habitués à ce rythme très soutenu et qu’ils savent que la quête d’un tel niveau de qualité passe par toutes ces exigences», souligne Pierrot Damay, président du FIFO depuis la première édition en 1986.
De l’argent de poche pour tous
Il ne se trouve d’ailleurs pas un participant pour se plaindre de ce régime quasi professionnel. En tout cas pas Renata, Melania et leurs potes polonais. Pour qui «c’est un honneur et une fierté de pouvoir...