Comme attendu, Sierre a facilement disposé de son voisin chorgue. Sans éclat en début de match, la formation de Romain Gaspoz a tout de même mis du temps à trouver le bon rythme. Mais une fois la machine lancée, tout s'est enchaîné très vite, trop vite. A sens unique, la 2e mi-temps n'a laissé planer aucun doute. L'ultime quart parle de lui-même: 22-3, Sierre a fait ce qu'il voulait contre des Chablaisiennes à bout de souffle. «On savait ce qui nous attendait, contre la meilleure équipe du pays. On tient le coup un peu plus de vingt minutes, avant de lâcher physiquement», reconnaissait Nina Hadjiyankova, la coach de Troistorrents.
Même privée de Maria Villarroel (légère contracture musculaire), l'équipe locale possédait une supériorité athlétique indéniable. Et une profondeur de banc dont ne disposait pas son adversaire. «Troistorrents a payé son manque de fraîcheur sur la longueur. Mais nous avons également su...