FRIBOURG
Marc Overney s'agite sur sa ligne, encourage une dernière fois ses joueuses puis... baisse les yeux. Caroline Turin vient d'inscrire le panier qui met un terme aux espoirs valaisans. Il reste deux minutes à jouer et les Neuchâteloises mènent de huit longueurs. «On se méfiait de filles comme Hicks et Charlier. Ce sont Rol et Turin qui surgissent», constatait, un brin abattu, l'entraîneur des Bas-Valaisannes. En finale de coupe de la ligue, Nina Crélot avait sorti le grand jeu. D'autres joueuses ont pris le relais samedi dans une salle Sainte-Croix bien garnie. «Aujourd'hui, ce ne sont pas nos étrangères qui font la différence. Les jeunes commencent à prendre leurs responsabilités et c'est la preuve que notre concept fonctionne», appréciait le coach des Neuchâteloises, Thibaut Petit.
A trop défendre sur les habituels fers de lance neuchâtelois, Troistorrents en a oublié que le danger peut venir de partout. La sanction est...