Le plafond est bas, la température plutôt fraîche. A Chiasso, ce jour-là, il ne fait pas forcément bon mettre un footballeur dehors. D’ailleurs, il y a davantage d’ouvriers qui s’affairent autour du stade que de joueurs en short. Steve Rouiller, 25 ans, n’est ici que depuis une année. Mais il a un mot pour chacun. «J’ai très vite trouvé mes marques», confirme-t-il.
Pourtant, au lendemain du stage en Espagne avec le FC Sion, lorsqu’il a appris qu’on ne comptait plus sur lui à Tourbillon, il ne savait pas grand-chose du FC Chiasso. Du Tessin non plus, d’ailleurs. Aujourd’hui, il est l’un des pil...