"Il y a un an presque jour pour jour, une fusillade mortelle avait endeuillé le coeur de la cité, à quelques mètres d'ici." Dans son Hôtel de Ville, le président de Martigny Marc-Henri Favre a rappelé hier le drame qui a servi de déclic à une réaction du monde politique.
Pas parce que la région comprise entre Martigny et le Léman est moins sûre que d'autres - les statistiques prouvent d'ailleurs que le nombre de délits commis en Valais est inférieur à la moyenne suisse - mais...