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Les films sur le Népal se multiplient

Dévasté par le tremblement de terre de 2015, le pays himalayen décline ses multiples facettes dans plusieurs festivals du film. Dont le FIFAD. Décryptage.

09 août 2016, 23:40
/ Màj. le 10 août 2016 à 00:01
In this Sunday, April 26, 2015, photo taken by Amul Thapa and provided by KathmanduToday.com, four-month-old baby boy Sonit Awal is held up by Nepalese Army soldiers after being rescued from the rubble of his house in Bhaktapur, Nepal, after Saturday's 7.8-magnitude earthquake shook the densely populated Kathmandu valley.  Thapa says that when he saw the baby alive after 20 hours of rescue efforts ÏÖ all my sorrow went. Everyone was clapping. It gave me energy and made me smile in spite of lots of pain hidden inside me." (Amul Thapa/KathmanduToday.com via AP)Sonis Awal âgé de 4 mois, a survécu après avoir passé 22 heures sous les décombres. Nepal Earthquake Baby Rescue

Aux Diablerets, à Autrans (France) ou dans divers autres festivals européens, les documentaires liés au Népal se multiplient. «Avec le Grand Nord et la montagne rédemptrice, c’est l’une de nos trois grandes tendances en termes de programmation cette année», reconnaît Jean-Philippe Rapp.

Les raisons de cette visibilité accrue, le directeur du Festival international du film alpin des Diablerets (FIFAD) les explique d’abord par le tremblement de terre de l’an dernier. «Le Népal évoque quelque chose de particulier dans la tête de nombreux alpinistes. Beaucoup ont été choqués et touchés par cette catastrophe qui a fait 8000 morts.» L’onde de choc du séisme a aussi eu une résonance audiovisuelle. «Tout d’un coup, des productions liées à cet événement sont apparues, ce qui est normal. Je n’ai pas cherché des films népalais, ils se sont présentés d’eux-mêmes. S’ils ont été sélectionnés, c’est que la qualité est au...

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