La demande était venue du président de Saint-Gingolph lui-même. Werner Grange avait interpellé en août dernier le Conseil d’Etat sur la situation chaotique que vivait sa commune. En effet, l’exécutif gingolais traversait, à ce moment-là, une législature mouvementée où deux conseillers sur sept ne siégeaient plus depuis plusieurs mois.
Silence, tout va bien
Le préfet du district montheysan, Alphonse-Marie Veuthey, était alors intervenu comme médiateur auprès de la commune. Après avoir auditionné chaque conseiller municipal séparément, il a présenté son rapport, i...