«Statistiquement, nos plongeurs – mobilisables sur appel - n’étaient que rarement mis à contribution. Tant du point de vue des ressources humaines que des finances, la rationalité passe par la collaboration avec nos collègues vaudois», note Jean-Marie Bornet, chef de la section prévention et information de la police valaisanne. Si celle-ci reste présente en surface sur le Léman, elle s’est en parallèle dotée de moyens supplémentaires pour intervenir sur les cours d’eau du canton, notamment pour procéder à des levées de corps.
Les détails dans le Nouvelliste de mardi.