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Grosse opération de police à Monthey mardi soir

Plusieurs personnes signalées sous mandat d’arrêt ou pour détention de drogues ont notamment été identifiées mardi soir lors d’un important déploiement des forces de l’ordre. Une opération de routine qui a permis de relever «un très bon niveau sécuritaire», note la police valaisanne.

23 oct. 2019, 12:24
238 véhicules ont notamment été contrôlés dans le cadre de l'importante opération policière de mardi soir 22 octobre à Monthey.

Les chiffres sont relativement impressionnants: plusieurs dizaines d’agents de la police cantonale valaisanne, de la police municipale de Monthey, des corps des gardes-frontières ainsi que de la gendarmerie nationale française, 238 véhicules interceptés sur les axes montheysans, plus de quatre cents personnes contrôlées dont trente dans la rue, dix dans des établissements publics et cinq prostituées dans des salons de massage.

«Rassurer le citoyen et dissuader le malveillant»

C’est un déploiement policier d’envergure qui a agité la ville de Monthey mardi soir. Sans objectif autre que «rassurer le citoyen et dissuader le malveillant», explique Stève Léger, porte-parole de la police valaisanne. «Il n’y a pas de situation particulière à Monthey, nous menons régulièrement ce type d’actions «coup de poing» sur tout le territoire du canton», ajoute-t-il, sans pour autant révéler de chiffres.

L’opération, ordonnée par le commandant de la police cantonale Christian Varone et menée en présence du conseiller d’Etat Frédéric Favre, chargé de la sécurité, ainsi que du président de Monthey Stéphane Coppey, a permis d’identifier plusieurs personnes signalées sous mandat d’arrêt ou pour détention de drogues, un usager circulant sous le coup du retrait de son permis de conduire ainsi qu’une personne qui s’adonnait clandestinement à la prostitution.

Niveau sécuritaire actuel qualifié de «très bon»

Des résultats «qui ne sont pas alarmants, qui se révèlent même réjouissants» et qui «démontrent que le niveau sécuritaire actuel est très bon», souligne Stève Léger, insistant sur le fait qu’«il n’existe à l’heure actuelle pas de zone de non-droit. Les efforts en ce sens de la police cantonale et de ses partenaires sont quotidiens.»

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