C’est ma faute. C’est vrai, parfois il a manqué l’«e» final accolé au mot «candidat», une photo, le nom d’une femme et ça a été le tollé. Non, écrivons au féminin, ça a été l’indignation.
C’est ma faute, parfois, je vous ai oubliées dans des articles qui rendaient compte de cette campagne (comme certains hommes d’ailleurs). Par étourderie lorsqu’il s’agissait de listes secondaires, par choix lorsqu’on parlait des listes principales.
Je vous ai négligées parce que je ne vous ai, pour certains enjeux, pas suffisammen...