C’est difficile, toujours difficile de marquer le territoire lorsqu’on succède à un parlementaire démissionnaire.
Les viennent ensuite font souvent les frais de leur entrée en cours de législature au moment de leur réélection, d’autant plus quand la barre est haute, très haute parce que c’est Viola Amherd, désormais conseillère fédérale, qui l’a placée. Bien davantage encore quand la rocade s’opère l’année du renouvellement général du parlement.
Et pourtant, Philipp Matthias Bregy n’est pas vraiment en danger cet automne. Parce que malgré s...