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Bilan de Philipp Matthias Bregy: Le dernier arrivé n’est pas le premier venu. Le commentaire de Stéphanie Germanier

01 juil. 2019, 19:00
Stéphanie Germanier, journaliste.

C’est difficile, toujours difficile de marquer le territoire lorsqu’on succède à un parlementaire démissionnaire.

Les viennent ensuite font souvent les frais de leur entrée en cours de législature au moment de leur réélection, d’autant plus quand la barre est haute, très haute parce que c’est Viola Amherd, désormais conseillère fédérale, qui l’a placée. Bien davantage encore quand la rocade s’opère l’année du renouvellement général du parlement.

Et pourtant, Philipp Matthias Bregy n’est pas vraiment en danger cet automne. Parce que malgré sa juste quarantaine, il est déjà un vieux politicien qui a marqué son territoire dans son Haut-Valais mais aussi dans le Valais romand dans lequel il évolue avec l’aisance de son entregent et de son français maîtrisé.

Dix ans de Grand Conseil et la proximité qui confine à la promiscuité avec le sénateur Beat Rieder avec qui il partage attaches partisanes et étude d’avocat en font un candidat installé...

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