Mathias Reynard, vous avez encore envie de ce mandat, vous qui, il y a peu, rêviez d’une carrière syndicale en briguant la présidence de l’USS?
Bien sûr puisque cette présidence était conditionnée à une présence à Berne. J’ai toujours la passion et l’envie de faire de la politique. A 31 ans, on ne peut quand même pas dire qu’on est fatigué de la vie, non? Je veux continuer à être le porte-voix de ceux qui en ont besoin, à relayer les préoccupations des plus faibles et à lutter contre les injustices.
Vous visez le National, les Etats et on vous imagine ...