«L’Idiap bénéficie d’une reconnaissance internationale, mais est encore trop peu connu du grand public.» Le constat dressé par Flavio Tarsetti, ingénieur de développement senior, a incité l’Idiap à lancer ses soirées «5 à 6». Une opération de charme destinée à faire connaître l’institut martignerain au panel de citoyens le plus large.
Pas besoin d’être spécialiste pour apprécier
De la reconnaissance faciale à la présentation du robot Nao, le visiteur lambda peut déjà y voir plus clair en l’espace d’une heure. Et commencer à cerner les projets de recherche à la pointe de la technologie. «Pas besoin d’être un spécialiste: les intervenants vulgarisent très bien la science pour la rendre accessible à tout le monde», constate ce quinquagénaire octodurien, participant de la première heure.
Indépendant, l’Idiap dirigé par Hervé Bourlard depuis vingt ans déjà accueille désormais 134 collaborateurs de 34 nationalités. Ses missions sont de trois natures: la recherche fondamentale, la...