Condamné en première instance à onze ans de prison, le Valaisan qui avait battu, violé et séquestré sa femme a vu sa peine fortement réduite par le Tribunal cantonal (TC) qui n’a pas retenu la tentative de meurtre, ni la tentative de lésions corporelles graves.
Ce mari violent et violeur écope tout de même de six ans de prison pour mise en danger de la vie d’autrui, viol, lésions corporelles simples et séquestration. En outre, il devra verser 25 000 francs pour tort moral à son épous...