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Une foire qui ne connaît pas la crise

Le rendez-vous de l'oenologie, de la viticulture, de l'arboriculture et des cultures spéciales ouvre aujourd'hui à Martigny. Interview de son nouveau président Vincent Claivaz.

26 janv. 2010, 05:04

Salon international de l'oenologie, de la viticulture, de l'arboriculture et des cultures spéciales, Agrovina ouvre ses portes ce matin au CERM. Durant quatre jours, les professionnels pourront découvrir les dernières nouveautés sur près de 20 000 m2 et participer à des conférences techniques de haut niveau.

«La dimension académique de ce salon est aussi importante que l'aspect commercial. L'un ne peut pas aller sans l'autre», estime Vincent Claivaz, nouveau président de la manifestation. Interview.

Un salon, quatre secteurs d'activité, du commercial, de l'académique, que recherche vraiment Agrovina?

A s'établir durablement comme un salon d'envergure nationale sur les différents secteurs d'activité qu'il regroupe, tout en suscitant l'intérêt des régions limitrophes. Agrovina est clairement positionné comme un salon pour les petites et moyennes entreprises. Il colle parfaitement au type d'agriculture que nous rencontrons en Suisse et dans les régions voisines. On ne veut pas séduire les grosses industries ni concurrencer les grands...

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