«C’est peu dire que nous avons fait œuvre de pionnier dans la région en ouvrant notre premier chenil à la route du Léman, en 1967.» Sans forfanterie aucune, Georges Gaillard rappelle qu’il y a un demi-siècle, les Valaisans avaient d’autres préoccupations que de chercher à placer leur animal de compagnie pour pouvoir partir en vacances.
Pas de chien à la maison!
C’est en constatant que des touristes ne trouvaient pas à qui confier leurs chiens avant de rallier leur chalet dans les stations valaisannes que Georges et un pote de Martigny ont l’idée d’ouvrir un refuge. «Après la disparition tragique...