Il a fait relativement froid en début de semaine. Des températures basses qui ont contraint les agriculteurs valaisans à déployer les outils de lutte contre le gel, jets d’eau et chaufferettes – bougies de paraffine – en tête. Le recours à ces dernières n’est pas sans conséquences sur la qualité de l’air, comme l’a rappelé, sur sa page Facebook notamment, le Service valaisan de l’environnement (SEN).
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Entre le dimanche 5 et le mercredi 8 mai, les moyennes horaires de dioxyde d’azote et de particules fines ont dépassé à plusieurs reprises les valeurs limites annuelles, voire les valeurs limites journalières pour ce qui est de la nuit de lundi à mardi. L’occasion de poser quelques questions au chef du SEN, Joël Rossier.
Joël Rossier, le pic de pollution rencontré dans la nuit du 6 au 7...