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Avec des conférences et un débat, la Fondation Sarah Oberson revient sur les drames liés à la libération des tueurs et violeurs en série.

14 nov. 2013, 00:01
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Quatre ans après la disparition de Lucie, Marie meurt dans des circonstances comparables. Sans parler d'Adeline cette année aussi à Genève. Les trois assassins étaient encore sous le coup de condamnations antérieures pour des délits similaires. En consacrant hier à Saxon sa Journée annuelle à ce sujet, la Fondation Sarah Oberson voulait contribuer au débat de société en cours.

Le psychologue Philip Jaffé a rappelé hier soir qu'avant de diriger l'Institut universitaire Kurt Bösch, il a travaillé plusieurs années dans un hôpital psychiatrique pénitentiaire de haute sécurité aux USA. "J'ai étudié, soigné, expertisé des tueurs et violeurs en série, dont un violeur lycanthrope (ndlr: loup-garou) , un vampire, ou encore un violeur nécrophile à la Hannibal Lecter et beaucoup de pauvres bougres."

Graves dysfonctions

"Sur la base de cette expérience, j'ai toujours soutenu qu'un petit nombre de criminels ne devraient jamais être relâchés. Mais pour réduire le taux de récidive...

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