Martigny-Croix profite d'un souffle rafraîchissant. Le ventilateur naturel éloigne les souvenirs de la canicule, il demeure sans effet sur le terrain d'entraînement de Sion. Une atmosphère lourde règne sur la séance de décrassage d'un lendemain de défaite européenne. Une petite course dans les bois avec l'ensembe de l'effectif précède les soins pour les titulaires de la veille et une opposition sur une surface réduite pour le solde du contingent. Les coups portés par Fenerbahçe laissent des traces. «Nous ne sommes pas entrés dans le match de la même manière que contre Galatasaray deux ans aupa...
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