Jours sombres pour la presse écrite. Publicité en baisse. Titres menacés. Pas un jour sans que l'un ou l'autre journal de Suisse romande ne relaie une morosité qu'ils semblent parfois créer ou entretenir eux-mêmes. Dans le même temps, d'autres médias claironnent haut et fort leurs succès. Au milieu de ces courants contradictoires, "Le Nouvel liste" poursuit sa politique de développement des supports numériques et conforte sa position de numéro 1 en Valais tant dans le domaine de l'information que dans celui de la publicité.
"Depuis 2001, "Le Nouvelliste" a vu le nombre de ses lecteurs croître de 16%, à 117 000, alors que le total de ses abonnés restait stable. Il reste donc largement le numéro 1 des médias valaisans et nous le disons avec fierté" , annonce Eric Meizoz, directeur de Publicitas Valais qui se charge de l'acquisition publicitaire du quotidien.
Le numérique progresse de manière spectaculaire
De son côté, Pierre-Yves Debons, directeur commercial du Groupe Rhône Média, se réjouit de la progression du nombre de visites sur le site internet du titre: "Depuis le mois de novembre 2011, date du lancement des nouvelles offres numériques, nous avons connu une très forte progression. La fréquentation a été multipliée par plus de trois. Chaque mois, nous comptons près de 10 millions de pages vues et plus d'un million de visites. Nos applications pour mobiles, iPhone, Androïd, génèrent à elles seules près de 40% de ce trafic, le reste provient du web."
"Le Nouvelliste", une marque
"Le Nouvelliste" existe au-delà du papier. La marque Le Nouvelliste est devenue un diffuseur d'information qui touche aujourd'hui proportionnellement plus de monde qu'il y a vingt ou trente ans. Aux 117 000 lecteurs du journal papier s'ajoutent désormais, chaque jour, 8000 autres personnes qui consultent l'info uniquement sur les supports numériques. Et, ce chiffre croît de plus en plus vite", souligne Eric Meizoz.
La marque Nouvelliste séduit un nombre d'annonceurs qui reste stable en Valais. "La fidélité des annonceurs de notre canton prouve à l'envi l'ancrage profond du quotidien dans le tissu économique valaisan. De plus, elle démontre une confiance qui ne se dément pas, contrairement à ce qui se passe ailleurs en Suisse. Notre politique tarifaire avantageuse envers les annonceurs locaux y contribue sans doute aussi. "Le Nouvelliste" reste un véhicule publicitaire et un instrument de communication de premier ordre. Il occupe clairement la première place en Valais" , analyse Eric Meizoz.
Une campagne de promotion
Cette fidélité, cette confiance, "Le Nouvelliste" veut en faire part à ses lecteurs, pour remercier ses annonceurs, en trouver de nouveaux et faire taire les rumeurs pessimistes qui gangrènent l'économie, particulièrement le monde de la presse écrite. "Un certain nombre de nos annonceurs vont témoigner dans les colonnes du journal. Ils raconteront les succès acquis grâce à la publicité qu'ils y ont insérée. Il s'agira à chaque fois de personnes ou d'entreprises réelles qui parleront de leur vécu sans fard ni mise en scène" , explique Olivier Debons, responsable des ventes de Publicitas Valais chargé de la campagne. "Souvent, les annonceurs témoignent de leur satisfaction auprès de leur conseiller en publicité. Nous avons donc décidé de leur ouvrir les colonnes du journal. Ils ont joué le jeu même s'il leur a fallu parfois vaincre une discrétion bien valaisanne", poursuit-il.
Concrètement, cette campagne de témoignages prendra place dans "Le Nouvelliste" dès aujourd'hui et se poursuivra, dans une première phase, jusqu'à fin juin.