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«J’ai préféré vendre et faire ce qu’il me plaît»

Depuis hier, Bernard Russi, patron du groupe BOAS, ne gère plus ses quinze EMS vendus à un groupe suisse alémanique. Il se consacre maintenant à l’exploitation d’une dizaine d’hôtels. Quatre sont en Valais, dont un en construction.

29 févr. 2016, 23:22 / Màj. le 01 mars 2016 à 00:01
Crissier - 16 février 2016



Interview de Bernard Russi, président directeur général du Groupe BOAS et Jean-Michel Rupp, directeur de l'Hôtel et Bains de Saillon.

Ici Bernard Russi



Héloïse Maret/Le Nouvelliste

Dans son bureau, Bernard Russi nous reçoit avec son nouveau directeur général, Jean-Michel Rupp, qui gère désormais les onze hôtels du groupe BOAS. Un groupe dont la vente de ses quinze EMS à Swiss Prime Site est effective depuis hier. Pour terminer et financer plus rapidement ses projets hôteliers. Pour ne plus être autant dépendant des banques. Mais aussi parce qu’il ne peut plus, selon lui, appliquer un modèle libéral à la gestion des EMS sous l’ère de Pierre-Yves Maillard. En Valais, le groupe BOAS est à la tête des Bains de Saillon, de l’Hôtel de la Poste à Sierre et celui des 4 Vallées à Nendaz. L’ancien gendarme de 65 ans devenu grand patron d’entreprise a accepté d’évoquer les nouveaux enjeux de son groupe après la vente de sa partie «santé» effective depuis hier.

Bernard Russi, depuis hier la vente des quinze EMS du groupe BOAS à Swiss Prime...

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