«Eh Christophe! C'est quand que tu reviens jouer à Sion?» Vendredi soir dans les bistrots de la capitale, l'ancien footballeur qui a fait les beaux jours du FC Sion et de l'équipe nationale dans les années nonante, peut mesurer sa cote de popularité auprès des jeunes et moins jeunes de la cité sédunoise. Une popularité qui n'a pas pris une ride, dix ans après qu'il ait décidé de mettre un terme à sa brillante carrière.
Mais si Christophe Bonvin sillonne les rues de la capitale un vendredi soir à minuit, ce n'est pas tant pour se faire reconnaître du plus grand nombre - ça il s'en moque - mais plutôt pour prêcher la bonne parole, celle de ne pas conduire après avoir consommé de l'alcool. Pour celui qui a été adulé aussi bien pour son talent que pour son fair-play et son charisme, il n'y a qu'un seul mot d'ordre:...