Quelle misère! Entre les uns qui ne peuvent plus et qui perdent leur énergie dans de vaines luttes intestines - voir ci-contre - et les autres qui, eux, ne veulent pas, on a probablement atteint un sommet dans la médiocrité. Que Martigny peine à se mobiliser et à trouver une once de motivation dans le contexte actuel, passe encore. Quand bien même il a des obligations à respecter. Mais Ajoie, lui, n'a pas la moindre excuse à avancer. Lui qui lorgne encore sur la quatrième place, qui doit garder le rythme en vue des play-offs et qui possède tout de même quelques individualités intéressantes, s'est mis au niveau de son adversaire. Il n'a rien, mais strictement rien montré tout au long d'une partie qui n'aura jamais été aussi ennuyeuse.
D'ailleurs, c'est parti très fort hier soir avec un nombre invraisemblable de dégagements interdits. De quoi donner le ton. La suite?...