"Je croyais que l'esclavage était aboli depuis longtemps. Pourtant, des caisses-maladie comme le Groupe Mutuel continuent de nous exploiter sans vergogne."
Michel Rey, technicien-dentiste sierrois, entend bien manifester sa colère. Enroulé dans des chaînes et brandissant un panneau "Stop à l'esclavage", il s'est solidement ancré devant le siège principal du Groupe Mutuel hier à Martigny.
Averti par l'entreprise qu'une intrusion sur l'espace privé ne serait pas tolérée, il reste sagement sur le trott...