«J’ai d’abord ressenti beaucoup de joie quand les restaurants ont été autorisés à rouvrir. Puis de l’abattement et de la colère quand le Conseil fédéral annonçait, quatre jours plus tard, qu’ils risquaient peut-être de fermer à 19h. Un grand soulagement ensuite quand les autorités informaient qu’on pourrait finalement ouvrir jusqu’à 23h. Mais de la peur aussi face aux conséquences d’une éventuelle troisième vague.»
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Les mots sont ceux de Johanna Florey, patronne de la Bras...