Monsieur Métrailler, l'accord signé dans le gros oeuvre du bâtiment répond-il aux attentes de l'AVE?
Nous étions partis en guerre un peu contre notre gré du fait de notre appartenance à la Société suisse des entrepreneurs, SSE, bien que, sur le plan valaisan, presque toutes les revendications patronales fussent déjà existantes. Nous ne soutenions donc pas la résiliation de la convention collective de travail, CCT, décidée par l'organe faîtier. Nous y voyions un danger pour la paix sociale. Maintenant tout rentre dans l'ordre et nous allons pouvoir recommencer à travailler dans la sérénité, à notre grand soulagement. Du côté patronal, nous avons obtenu l'assouplissement demandé sur la répartition des heures travaillées. Bien que les modalités d'application des nouvelles règles en la matière ne soient pas encore connues, ce point me paraît positif surtout qu'on nous annonce une solution administrativement légère. Je me réjouis aussi de la liberté laissée aux associations...
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«Un immense soulagement»
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