"Bravo Nico’!", "c’était super !", "il est trop bien, ce petit !". Samedi soir, la salle José Giovanni de Salvan était toute tourneboulée. Plus habituée à voir les vaudevilles de la troupe du Vieux-Mazot, elle venait d’assister à "Vivarium", un huis clos tragi-comique palpitant, première création d’un enfant du pays devenu enfant de la balle.
Cours Florent sur le CV
Nicholas Bochatay avait vingt ans quand il est "monté à...