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Salvan: il revient à ses racines pour se donner des ailes

Monté à Paris pour brûler les planches, Nicholas Bochatay est revenu dans son village d’origine un mélodrame sous le bras. "Le Nouvelliste" a suivi ce retour aux sources émouvant.

18 févr. 2018, 16:00
Nicholas Bochatay espère pouvoir vivre du théâtre avec son collectif Mirari. 2018, une année charnière avec deux gros projets théâtraux à Paris.

"Bravo Nico’!", "c’était super !", "il est trop bien, ce petit !". Samedi soir, la salle José Giovanni de Salvan était toute tourneboulée. Plus habituée à voir les vaudevilles de la troupe du Vieux-Mazot, elle venait d’assister à "Vivarium", un huis clos tragi-comique palpitant, première création d’un enfant du pays devenu enfant de la balle.

Cours Florent sur le CV

Nicholas Bochatay avait vingt ans quand il est "monté à Paris". "Un ami m’a parlé d’un stage qu’il avait fait au Cours Florent. Je me suis dit pourquoi pas moi !" Diplôme de graphiste en poche, le jeune Salvanin débarque dans la Ville Lumière et entre dans la fameuse école privée dont le nom seul fait rêver. "C’est vrai que c’est une grosse machine avec plus de mille élèves par promotion mais on y fait beaucoup de rencontres." Dont celle de sa "bande", les membres du collectif Mirari récemment...

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