Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Ni nom, ni rue, ni numéro pour les facteurs de Kaboul

19 juil. 2013, 00:01
data_art_1702321.jpg

Les postiers de la capitale doivent composer avec l'anarchie urbaine.

KABOUL MUSHTAQ MOJADDIDI

A Kaboul, les rues n'ont bien souvent ni nom ni numéro, la faute à trois décennies de guerre et de constructions anarchiques. Alors, pour la centaine de postiers de la ville, la distribution du courrier se transforme parfois en véritable travail d'enquêteur.

Mohammad Rahim fait sa tournée dans les rues escarpées de la capitale afghane juché sur une vieille bicyclette. Fort de dix ans d'expérience, il n'a peur d'aucune adresse, aussi énigmatique soit-elle.

" Ça, c'est une lettre adressée à un homme...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias