D'après l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi (à gauche, en discussion, hier, avec le ministre irakien des Affaires étrangères, Hoshyar Zebari), une conférence n'est pas envisageable en l'absence d'une opposition syrienne crédible.
La tenue d'une conférence de paix sur la Syrie apparaît plus que jamais suspendue à la participation de l'opposition à Bachar el-Assad, toujours minée par ses divisions. Les pressions se sont accrues ces derniers jours sur les principaux dirigeants politiques de la rébellion pour les convaincre de prendre le chemin de Genève 2, dont l'échéance i...