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Les gérants ont cru à un tremblement de terre

Une voiture folle a détruit le jardin d’hiver d’un restaurant. Le patron revient sur cet accident qui aurait pu avoir des conséquences dramatiques.

26 oct. 2015, 23:42
/ Màj. le 27 oct. 2015 à 00:01
Haute-Nendaz, le 26 octobre 2015



Le dimanche 25 octobre 2015, un automobiliste percute la véranda de l'Hôtel Le chant du Torrent qui fait office de salle à manger. Par chance aucun client été présent dans la salle à manger. La véranda à été complément détruite.



Sacha Bittel/Le Nouvelliste

D’imposantes poutres en bois complètement déchiquetées, une table en métal pliée comme du carton, des carrés de carrelage striés de profondes raies et partout des bris de verre et des copeaux de bois. Ce qui reste du jardin d’hiver du Chant du Torrent à Nendaz témoigne de la violence du choc survenu dimanche. Aux environs de 11 h 20, un Genevois de 80 ans a perdu la maîtrise de sa voiture, un 4x4 Mercedes, qui a fini sa course au milieu de l’établissement situé à la route des Ecluses, tout à l’ouest de la station.

«Tout s’est mis à vibrer»

Daniel Glassey, le jeune patron du restaurant, se trouvait dans sa cuisine au moment de l’accident. «Tout s’est mis à vibrer. J’ai pensé à un tremblement de terre. Quand je suis entré dans la salle, il y avait du verre partout.» Son épouse Mélanie travaillait pour sa part derrière le...

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