«Un match nul face à la Grèce réduite à dix pendant plus d'une mi-temps aurait été une défaite.» Ottmar Hitzfeld ne manie pas la langue de bois. Ce n'est pas la moindre des qualités de cet entraîneur au palmarès incomparable. Oui, contre une Grèce en infériorité numérique il fallait gagner à tout prix et voilà pourquoi le sélectionneur a effectué trois changements offensifs. L'histoire lui a donné raison et, pour la première fois depuis le début des éliminatoires, la Suisse est «dans le rôle du chassé et non plus du chasseur», poursuit le coach. Une situation qui nécessite une appr...
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