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La Colombie meurtrie rêve de paix

Le deuxième groupe insurgé, après les Farc, se dit prêt à des négociations avec le gouvernement. Après 50 ans d'existence, la guérilla pourrait déposer les armes.

25 oct. 2012, 00:01
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L'Armée de libération nationale (ELN) ne participe pas aux négociations de paix ouvertes entre le gouvernement et les Farc. Pourquoi?

Lorsque le président Juan Manuel Santos a annoncé publiquement l'ouverture de discussions avec les Farc, il nous a aussi appelés à démarrer ce processus . Notre réponse fut affirmative.

L'ELN est ouverte au dialogue. Depuis plus de 20 ans, nous avons parlé avec trois gouvernements successifs. Malheureusement, ces efforts n'ont pas porté leurs fruits. Nos désacco rds sur la manière de parvenir à la paix étaient trop profond s.

Nous sommes aujourd'hui prêts à entamer des pourparlers sans conditions avec le gouvernement du président Santos. Au moment opportun, les opinions nationale et internationale seront tenues au courant des évolutions.

Après 50 ans de lutte armée, pensez-vous que le moment est enfin propice?

La voie vers la paix aurait dû être ouverte bien avant. Aux justes demandes de protection sociale, de...

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