Michel Darioly, vous voilà partis pour dix jours de concours. Le national qui a commencé ce jeudi sert-il d’amuse-bouche avant le plat principal de l’international de la semaine prochaine ?
Absolument pas. C’est en formant les amateurs et la jeunesse sur le concours national que l’on aura des cavaliers dans les concours internationaux à l’avenir. Economiquement ensuite, le concours national est vital pour nous. Pour la station également. Les cavaliers présents ici le premier week-end viennent en famille, familles qui logent dans les hôtels et mangent dans les restaurants de la région. Sans la partie nationale, on n’existerait pas. D’ailleurs, je me rappelle d’une année où, suite à une conjonction de dates, on n’avait pas pu mettre sur pied le concours national. Cette année s’était soldée sur une perte de 70’000 francs.
Sportivement, il y a quand même une différence entre le concours national et international…
Evidemment que dans la...