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«Je n'irai pas là où je ne veux pas aller»

Troisième album de Daphné, «Bleu Venise» offre des échappées mélancoliques et oniriques.

19 févr. 2011, 05:01

Bienvenue à Venise. Pas celle des hordes de touristes mais celle, imaginaire, de Daphné. Une ville aux lumières changeantes, île de la douceur d'aimer, du désir et du manque. Une voix enveloppante, des mots élégants et des cordes soyeuses nous accompagnent dans ce voyage en harmonie, qui laisse riche de mille images et sensations. «Bleu Venise», son troisième album, donnera-t-il à l'auteure-compositrice-interprète l'écho qu'elle mérite? Il serait temps.

Après «L'émeraude» (2005) et «Carmin» (2007), «Bleu Venise»; vous avez décidément un rapport particulier aux couleurs.

Les couleurs me racontent beaucoup de choses. J'ai l'esprit assez ludique, j'ai besoin de chercher toujours des corrélations entre les choses, de créer des ponts. Du coup les couleurs me parlent: Viens voir par là. Ça peut me donner envie d'aller visiter une exposition, de prendre un billet de train pour tel endroit. C'est comme un parcours un peu instinctif et j'ai envie de faire partager...

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