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Euro 2016: la Suisse ne compte pas s'arrêter en si bon chemin

Vladimir Petkovic annonce que l'équipe suisse ne compte pas s'arrêter en huitième de finale. Les prochains jours seront placés sous le signe du repos et de la récupération, pour aborder correctement le match de samedi à 15h00.

20 juin 2016, 06:47
Vladimir Petkovic voit grand pour l'équipe suisse.

"Nous avons encore faim !" Vladimir Petkovic annonce la couleur. La Suisse ne veut pas s'arrêter en huitième de finale. "Nous n'avons fait que le premier pas", ajoute-t-il.

"Nous avons atteint l'objectif mininal que nous avions défini. Nous l'avons atteint de manière souveraine, poursuit-il. Nous avons vraiment présenté du beau jeu. Maintenant, nous n'avons qu'une seule certitude: notre prochain match aura lieu samedi à 15h00 à Saint-Etienne. Quel que soit l'adversaire, la tâche sera difficile. Mais nous jouerons ce match pour le gagner. Pas pour l'honneur !"

Le sélectionneur souligne que les prochains jours seront placés sous le signe de la récupération. "Nous devons retrouver de l'énergie, dit-il. Aujourd'hui, nous avons été parfois en difficulté sur le plan physique. Mais à aucun moment et malgré l'état de la pelouse, nous avons fait le choix de nous barricader devant notre but. Je retire beaucoup de positif du match de ce soir. La manière était bien présente. Nous avons eu la possession. Il nous a manqué toutefois un plus grand tranchant dans les 20 derniers mètres."

Concernant l'épisode des maillots, Vladimir Petkovic n'a eu qu'une seule reponse. "Si on le tire, le maillot se déchire. C'est aussi simple que cela", lâche-t-il dans un grand sourire.

Celui de Dider Deschamps était un peu plus crispé. "Désolant !" Le patron des Bleus n'a eu qu'un seul mot pour décrire l'état de la pelouse du stade Pierre Mauroy. "Et dire que nous ne sommes qu'au début de cet Euro", glisse-t-il.

Didier Deschamps ne met pas uniquement sur le compte du terrain les raisons de ce demi-échec. "La Suisse a eu une meilleure maîtrise par moments. Sans toutefois être vraiment dangereuse, souligne-t-il. C'est aussi une équipe avec du répondant sur le plan physique."

 

 

Didier Deschamps a rappelé la pression qui pesait sur l'épaule de ses joueurs. "Toute la journée, cette pression est bien là, lâche-t-il. Devant notre hôtel, sur le chemin du stade... Je n'avais pas le sentiment que ce match n'était que le troisième de la phase de poules. Mais bien plus que cela..." L'attente dans le pays est perceptible. Elle est vraiment immense.

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