Elle est bien loin l'époque de la starification facile, de la télé-réalité et des tubes à la chaîne. En revêtant le costume sombre et sobre de Yodelice, Maxime Nucci a tourné le dos au showbiz pour enfin écrire la musique qu'il avait au coeur. Une folk rêveuse, aux enluminures légèrement gothiques. Il y a du Jarmusch, du Tim Burton et du Neil Young en lui. Il y a la sève et le bois, et l'électricité au bout des doigts. Après deux albums et près de 300 concerts, Yodelice s'apprête à entrer en retraite créative. Restent sur son chemin quelques dates, dont deux suisses, à Zurich et Martigny. Inte...
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