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De la difficulté de vivre avec un handicap invisible pour les yeux

Amandine Caprotti souffre de dyspraxie. Elle témoigne avec sa maman pour faire connaître cette maladie qui complique sa vie et celle de ses proches.

23 avr. 2014, 00:01
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"J'avais des doutes depuis longtemps déjà, mais nous n'avons eu la confirmation qu'Amandine était dyspraxique qu'en 2009" , raconte Marylin Caprotti-Giroud. Cette Valaisanne, qui est également maman de deux autres filles, sait aujourd'hui que sa fille cadette de 13 ans est atteinte de dyspraxie. Cette maladie encore peu connue du public est une altération de la capacité à exécuter automatiquement des mouvements déterminés. Ce qui rend la coordination des mouvements complexes de la vie courante très difficile. L'enfant a également des difficultés à anticiper une action; il est lent, maladroit et peu efficace dans ses actes.

Ainsi Amandine tombe-t-elle souvent, sans se faire mal, et elle est d'une grande maladresse pour toutes les choses manuelles - elle souffre de troubles de la motricité fine - et a une écriture presque illisible. "Sa maladie fait qu'elle a beaucoup de peine dans la gestion de l'espace. Elle a donc aussi beaucoup de...

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