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«Cela reste une démocratie très vivante»

Dans son nouveau documentaire, Jean-Stéphane Bron montre une institution au travail, avec ses accords et ses désaccords. Brillantissime.

11 avr. 2017, 23:46
/ Màj. le 12 avr. 2017 à 00:01
lopera1

Révélé en 2003 par «Mais im Bundeshuus – le génie helvétique», le Suisse Jean-Stéphane Bron est l’un des réalisateurs documentaires parmi les plus importants du moment. Après «Cleveland contre Wall Street» (2010), sur la crise des subprimes, et «L’expérience Blocher» (2013), où il démythifie un Christoph Blocher solitaire, Bron consacre son septième long métrage à l’Opéra de Paris.

Jean-Stéphane Bron, comment force-t-on les portes de l’Opéra Bastille?

Après «L’expérience Blocher», où je me confrontais en permanence à un individu, j’étais en quête d’un film réparateur sur le collectif qui puisse se tourner à huis clos, comme pour «Mais im Bundeshuus». C’est mon coproducteur français qui m’a lancé sur la piste de l’Opéra de Paris en me disant qu’il y allait avoir des changements au sein de la structure, que ça pourrait être intéressant. J’ai commencé par prendre rendez-vous avec Stéphane Lissner, son nouveau directeur. Il a d’abord été réticent, puis...

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