Candide Pralong peut préparer en toute quiétude les dossiers qu’il a à rendre dans le cadre de sa formation universitaire pour la fin de la semaine prochaine. Après dix jours d’intenses efforts sur le Tour de Ski, le Valaisan aura tout le loisir de récupérer. «Au moins, ça m’oblige à faire une pause. Sans ces travaux à rendre, je serais peut-être déjà remonté sur les skis», rigole celui qui avait été touché par le syndrome de surentraînement au cours des deux derniers hivers.
Au moins, ça m’oblige à faire une pause. Sans ces travaux à rendre, je serais peut-être déjà remonté sur les skis.
Candide Pralong, fondeur valaisan de Coupe du monde
Cette fois, il laissera le temps à son corps de récupérer. De récupérer, physiquement et mentalement, de la plus belle période de sa carrière qu’il vient de vivre. Depuis début janvier, il a amélioré ses meilleurs résultats...